Né à Liège en 1970, Olivier Duculot a obtenu une licence en Arts et Sciences de la communication à
l’Université de Liège, et fait des études en photographie d’art à l’Institut Saint-Luc de Liège.
Au début de sa carrière, il travaille comme Conseiller laïque auprès d’une Institution publique de
protection de la jeunesse (IPPJ) où il aide de jeunes délinquants à se « remettre en selle ». Cette
expérience le fait côtoyer quotidiennement la violence des « éducateurs » et la violence
institutionnelle et le marque définitivement.
En 2000, il s’installe au Québec où il travaille pendant cinq ans comme Directeur des communications
pour une entreprise active dans le secteur de l’insertion socio-professionnelle et de la création
d’entreprises, puis, toujours à la même fonction, dans le monde politique.
En 2003, il est publié par Andrée Yanacopoulo, la veuve de l’écrivain québécois Hubert Aquin, qui vient
de créer les éditions Point de fuite à Montréal. Continuer, son premier roman, est salué par la critique
(Le Carnet et les Instants, les Lettres québécoises, Le Libraire, Frédéric Beigbeder, entre autres) et sera
nominé au Prix des libraires du Québec peu après sa sortie.
En 2005, de retour en Belgique, il est engagé comme speech writer par un homme politique belge. En
2012, il crée une entreprise de consultance en communication et ressources humaines.
En 2021, il publie Parc fermé aux éditions Ovadia à Nice. Son deuxième roman recevra lui aussi un bon
accueil critique, notamment du Carnet et les instants, revue littéraire faisant autorité en Belgique.
En 2022, à l’invitation de L’âne qui butine, une maison d’édition franco-belge, il publie Noctambulation,
un court texte dans la collection Troglodyte relatant « une expérience sonore vécue ».
En 2024, Sofia, son troisième roman, paraitra aux Editions Ovadia.
Passionné de littérature (Serge Doubrovsky, Régis Jauffret, Annie Ernaux, Hubert Aquin, Nelly Arcan
sont ses auteurs favoris), il aime explorer les thématiques de la liberté, de l’adolescence, du féminisme,
de la mort ainsi que la complexité des rapports humains.